samedi 24 décembre 2011

Joyeux Noël !

Nous y voilà ! 24 décembre 16h ... Rudolf est très très impatient ...
Alors pour passer le temps nous avons confectionné des biscuits pour le Père Noël : des biscuits au caramel et noix de cajou.


On a dû en goûter un, histoire de vérifier si le Père Noël allait aimer ... et un deuxième aussi pour vérifier. Verdict : absolutly delicious !!

La recette mega-hyper facile pour environ 18 biscuits :
- 115 grs de farine
- 80 grs de beurre
- 1 oeuf
- 50 grs de sucre blanc
- 60 grs de sucre roux
- 1/4 cc gros sel
- 1/2 cc extrait de vanille
- 70g de noix de cajou salées (celles pour l'apéro)

pour le top :
- 8 caramels moux
- 2 cl de crème fleurette liquide

1 - Préchauffer le four à 180°C
2 - Concasser les noix de cajou grossièrement (dans un torchon les écrase avec un rouleau à pâtisserie)
3 - Mélanger les sucres et le beurre puis ajouter l'oeuf puis la vanille puis la farine et le gros sel et enfin les noix de cajou concassées
4 - Faire des petits tas de pâte sur une feuille de cuisson posée sur la plaque du four. Bien les espacer (j'en fais 9 sur une plaque)
5 - Faire cuire entre 12 et 15 mns (ça dépend de votre four)
6 - Sortir les biscuits et les faire refroidir
7 - Préparer le "top au caramel" : faire fondre le caramel et la crème, laisser un peu refroidir et décorer vos biscuits.

Bon appétit !

Et surtout ✰✰✰JOYEUX NOEL A TOUTES ET A TOUS ♥♥♥

Kate Manzana

jeudi 22 décembre 2011

Les belles bougies


J'adore les bougies. J'en ai toujours plusieurs à la maison, que je dissémine et allume au gré de mes envies, pour créer de belles lumières et de doux effluves. 

Mes bougies préférées sont les bougies Diptyque : "Bois Ciré", "Baies", "Feu de Bois", "Figuier", "Jacinthe", font partie de mes favorites, ainsi que "Essence", celle créée par John Galliano (mouais bon, j'aime l'odeur de cette bougie, achetée bien avant "Ze" affaire Galliano.... j'y peux rien !).

J'aime aussi la bougie "Harcourt", (vendue exclusivement au Studio Harcourt) aux effluves de bois ciré, musc, benjoin, cuir, elle est très "ambiance Art-déco" (ça tombe bien).

Et les bougies Trudon-qui-coûtent-un-bras aussi.

Mais je suis toujours à la recherche d'autres senteurs, d'autres jolies verrines, à des prix sympa bien sûr.

Et vous, quelles sont vos bougies préférées ? Vos idées sont les bienvenues !


Pam Baileys

lundi 19 décembre 2011

Nos ancêtres nos Gaulois

Premier jour de vacances bien occupé avec l'expo sur "les gaulois" à la Cité des Sciences.


Bon, Rudolf a râlé pour la forme ..."ça m'intéresse pas", "j'veux pas y aller" ... pour finalement bien s'amuser et ne plus vouloir partir.

L'exposition est très bien conçue, descriptive, interactive, scientifique, artistique et parfois humoristique.
Tout d'abord, on se plonge dans les lieux communs, les idées reçues, les représentations habituelles (le blond à moustache un peu rustre) et l'utilisation de l'image.




Puis on entre dans le sérieux, le scientifique ...
Pour aborder la vie des gaulois, on l'aborde via l'archéologie, les bornes interactives, les jeux (refaire une poterie, creuser ...). On apprend plein de choses sur le mode de vie sédentaire, les cultures, les animaux domestiques, l'habitat ...

Arrivent les objets d'art, les statuettes, les pièces, les chaudrons ... et une représentation en maquette animée d'un temple et d'une cérémonie religieuse, très poétique et instructive.

Et on termine par un film assez drôle et pourtant pédagogique.

Une expo enrichissante, instructive et très fraîche qui ne vous fera plus dire que nos ancêtres les gaulois étaient des rustres moustachus.

Kate Manzana

Pour en savoir plus :
http://www.cite-sciences.fr/francais/ala_cite/expositions/gaulois/visite-exposition-Gaulois/presentation-exposition.php

vendredi 16 décembre 2011

Bouton d'or et Mimosa

Cet été, j'ai craqué pour le vernis "Mimosa" de Chanel, ou disons plutôt sur cette couleur très "bouton d'or", un jaune légèrement métallisé, d'une couleur qui n'a pas froid aux yeux, et qui me faisait comme 10 petits soleils au bout des doigts (et vu que cet été, le soleil a très moyennement brillé, c'était un bon ersatz !).

Mais voilà, vous savez que les vernis Chanel et moi, c'est pas le grand amour : trop chers, pas de bonne qualité, qui s'étalent super mal, bref, il me fallait trouver son dupe, grande mission estivale !

Et que j'ai relevé avec succès,  et en toute modestie (je ne suis pas peu fière, sur ce coup-là, j'avoue) avec "Yellow Submarine - n°20" de Deborah (collection Prêt à porter en petit format 4,5 ml).

Et comme rien n'est plus parlant qu'un comparatif en images, voici les 2 concurrents :



Et voilàààà ! En haut : le Mimosa à 22 euros, et en-dessous, le Bouton d'or (Yellow submarine) à 5,95 euros (et en prime mes cuticules toutes pourrites !).

Et maintenant, votre verdict ?
(2 couches "Yellow Submarine"/Deborah (collection Prêt à Porter) + 1 couche "Mavadry"/Mavala).

Pam Baileys

mercredi 14 décembre 2011

Osez Joséphine ....

Bon, ben voilà, je l'ai lu le livre que tout le monde a lu !
J'ai eu du mal à commencer, c'est un peu mon côté rebelle, j'aime pas être dans le coeur du mouvement, je préfère être en avance ou carrément très en retard. En décalé. Mais dans le bain de foule, non.
Bon, j'ai quand même avancé dans les pages ... et je n'ai plus lâché l'histoire de Lucile et de sa famille.


Elle est belle sur cette photo Lucile. Belle comme ces femmes qui savent se rendre mystérieuses. Inaccessibles.

Delphine de Vigan nous raconte la vie de sa mère. Et donc la sienne et celle de sa famille.
Cela commence par l'enfance dans les années 40/50 dans une famille nombreuse (9 enfants !) avec son lot de joies et de malheurs. Et puis Lucile grandit, fait des enfants et vit avec sa maladie : elle est maniaco dépressive.

Il y a des passages très durs, très émouvants, très bouleversants.
Et pourtant Delphine de Vigan a une finesse d'écriture qui nous entraîne dans les méandres familiaux sans jamais nous faire sombrer. C'est sans jugement, avec un amour profond qu'elle raconte sa famille et cette mère si fragile et si forte.

Un livre subtil et lumineux, qui décrit une famille particulière, et qui pose les questions du lien, de la transmission, de la folie, de l'amour, de la liberté.
Car Lucile revendique sa liberté, et enfermée dans la maladie, elle parvient à rester libre jusqu'à la fin.

Etre une personne libre est certainement notre défi le plus difficile à relever dans la vie, et je suis heureuse d'avoir partager 439 pages avec une femme libre.

Kate Manzana

lundi 12 décembre 2011

Le vernis avec du glitter dedans

C'est bientôt les fêtes de fin d'années ! Je songe déjà à mes habits de lumière pour l'occasion. Et au vernis idoine, bien sûr. Et pourquoi pas un joli vernis pailleté qui en jette ?

"Tulipe Glitter" de Peggy Sage est mon dernier gros coup de coeur, et pourtant, je n'aime pas franchement la paillette ! Mais celui-là, waow, mazette il glitterise ! Un coulis de framboise constellé de paillettes multicolores. Pour les fêtes, à part le vernis doré, je ne vois pas mieux.



Le seul hic, comme tous les vernis fortement pailletés, c'est le démaquillage de l'ongle ! Prévoir 1 litre de dissolvant, 1 paquet de coton et beaucoup de patience : la paillette est tenace, très tenace, la bougresse !

(2 couches "Tulipe Glitter/Peggy Sage" + 1 couche "Mavadry/Mavala") - Pour faire très bien les choses, 3 couches de vernis auraient été nécessaires.

Pam Baileys

jeudi 8 décembre 2011

Collier Art-déco

J'aime l'Art-déco. Beaucoup beaucoup beaucoup ! Meubles, bijoux, décoration intérieure, mode, arts plastiques, architecture etc...

Et j'aime donc les bijoux Art-déco, beaucoup beaucoup beaucoup aussi. Mais aujourd'hui, les beaux bijoux Art-déco en bakélite n'existent plus. Sauf.... chez H&M ! Oui, ma marque suédoise préférée a eu le bon goût d'éditer ce collier "Art-déco" (en touuuute petite série très très limitée ! il n'est resté que 2 jours en magasin !). 

Alors forcément, moi qui porte pourtant très peu de colliers, ben j'ai craqué pour celui-ci.

Bon, ce n'est pas de la bakélite ni de l'or hein, à 9,90 euros faut pas se leurrer, mais il fait son (bel) effet sur la plupart de mes robes.



Pam Baileys

lundi 5 décembre 2011

Mes p'tits plaisirs BD

En cette période automnale, les auteurs de bulles sont productifs.
Tous mes auteurs préférés sortent un album .... waouh, plein de lectures en prévision !
Et j'ai déjà été gâtée à mon anniversaire ... vivement Noël ....

J'ai commencé l'hibernation bullesque avec ces 2 albums :
"Paul au Parc" de Michel Rabagliati et "Chroniques de Jérusalem" de Guy Delisle


Paul, je vous en avais déjà parlé l'année dernière : ICI
Et il revient cette année avec une histoire de petit garçon qui s'inscrit chez les scouts. Bon, comme ça, c'est pas forcément tentant, surtout pour moi qui a fait un week-end chez les scouts et bye bye, on ne m'y reprendra plus de dormir dans le froid avec 30 gamines de 10 ans.
Mais là, le scoutisme c'est juste l'histoire de fond, ce qui compte c'est le lien entre tous les personnages, l'humanité qui s'en dégage, et comme avec tous les albums de Paul, à la fin on pleure. Et on se demande si c'est une histoire vraie, mais finalement ça n'est pas le plus important.
Oh la la, je me demande si je vous ai donné envie ? mais vraiment si vous aimez la BD, les belles histoires et que vous ne connaissez pas Paul, foncez !

Quant à Guy Delisle, c'est un québecois qui fait de la BD depuis des années. Il raconte ses voyages pour le boulot dans des récits à la fois réalistes et naïfs. Il se promène et décrit ce qu'il voit, sans analyse superfétatoire, juste son ressenti, son sens de l'observation et sa finesse.
Il a raconté Pekin, Pyongyang, dans le cadre de son travail de dessinateur, et la Birmanie dans son rôle de père au foyer.


Dans "les chroniques de Jérusalem", Guy Delisle nous fait visiter Israël et les territoires palestiniens, avec son oeil d'occidental laïc, et il relève les absurdités, les difficultés, les contradictions de cette partie du monde, berceau de la civilisation et surtout de la religion, des religions.
Guy Delisle est à Jérusalem, comme il était à Rangun, dans le rôle du mari d'une travailleuse humanitaire pour MSF et du papa de deux jeunes enfants.
Il parcourt la ville et le pays, racontant des choses simples, le quotidien et c'est ce qui en fait tout le charme. Il ne prend pas partie, il observe. En refermant le livre on a envie d'en savoir plus, de prendre du temps à mieux comprendre, tout en se disant que ça dure depuis 2000 ans et qu'on sent bien que ça ne va pas s'arranger, hélàs ....

Mais au fait, il n'y a pas que Guy Delisle qui est québécois, le papa de Paul, Michel Rabagliati aussi.
L'automne, les feuilles mortes, les citrouilles, les feux de cheminée, et les québecois !

Merci le Québec, ça fait du bien cet "humanisme réaliste" ou ce "réalisme humaniste", moi ça me réchauffe le coeur.

Kate Manzana

vendredi 2 décembre 2011

La faune et la flore en milieu urbain

Aujourd'hui, petit billet "nature" ou comment apprendre des choses sur la faune et la flore en milieu parisien :

1) Il pousse des roses dans Paris ! Si si, c'est vrai (et en plus, elles fleurissent début décembre - bon ok vous me direz qu'à Paris plus rien n'étonne). La preuve en  images (il vous faut me croire sur parole mais ces roses ont été cueillies ce matin sur la terrasse de mon bureau) :



2) J'ai toujours cru que c'étaient les abeilles qui produisaient le miel, en butinant les fleurs. Que nenni, Ce sont les chats parisiens ! Mais oui mais oui, preuve en images aussi (photo réalisée sans trucage) :



Alors, c'est pas beau la vie à Paris ? Qui osera maintenant dire qu'on ne vit qu'entourés de béton ? :-)


Pam Baileys

jeudi 1 décembre 2011

J'ai pris une prune !

Les addicts du vernis le savent toutes : depuis quelques semaines, la marque Essie a débarqué dans tout bon Monoprix qui se respecte (ça ne va pas arranger mes finances, mais je promets d'être sage, je n'ai pour l'instant relevé que 4 ou 5 couleurs qui me plaisent et que je ne possède pas encore).

Bon, sur le papier dit comme ça, ça frôlait la transe, Essie et ses 250 couleurs qui débarquent en France !! Au final, il n'y a qu'une soixantaine de couleurs disponibles de ce côté-ci de la Manche, mais bon, c'est déjà bien, et plus besoin de se déplacer dans un salon Manucurist (le seul dépositaire de la marque jusqu'à présent). Notez juste que le pinceau version France est différent du pinceau US : il est plus large et plus épais. Personnellement, tant mieux, je préfère le nôtre.

Et c'est donc chez Essie que j'ai trouvé mon prune. LE prune/aubergine légèrement métallisé que je cherchais depuis des lustres. "Damsel in a dress" est tout simplement par-fait (du moins pour moi et concernant ma recherche) : un prune bien foncé tirant sur le noir, très "aubergine", et légèrement métallisé.


Ici il est pris au flash, donc il parait plus clair/rouge qu'il ne l'est en réalité.

(2 couches "Damsel in a dress"/Essie + 1 couche "Mavadry/Mavala").

Pam Baileys

lundi 28 novembre 2011

le cookie qui tue !

Vous vous souvenez que la semaine dernière, je vous ai parlé des cookies Laura Todd ... j'avais reçu un beau p'tit livre de cuisine sur le sujet pour mes 31 ans.


Et dimanche dernier, j'ai inauguré la recette des cookies au chocolat, la recette de base, la simple, la facile, la classique. J'ai la flegme de la recopier, alors la voici (je ne sais pas si j'ai vraiment le droit de faire ça ... c'est pas forcément très légal ... droits d'auteur, reproduction non autorisée ... mais bon, j'prends le risque)


Suivez moi en photo pour ne râter aucune étape, sauf celle de la dégustation évidemment !

1ere étape : faire la pâte, elle doit être un peu sableuse et compacte (ne pas hésiter à la mettre au frigo)


2e étape : faire des boulettes, les déposer sur une plaque de cuisson et les aplatir un peu


3e étape : faire cuire. Ne pas hésiter à faire un test avec une seule boulette. Tous les fours sont différents ...

4e étape : sortir du four et laisser refroidir


5e étape : DEGUSTER

VERDICT : de bons cookies qui ressemblent aux vrais Laura Todd mais pas encore tout à fait. Peut-être trop cuits. En tout cas, ils étaient moelleux au milieu et un peu croustillants sur le côté. Et puis les pépites de chocolat maison (Varlhona of courses) étaient délicieux.

Finalement la recette de Karl, rapportée des Etats Unis (Syracuse, NY) en 1985, est très semblable.
Donc allez-y, cette recette Laura Todd est estampillé US pure souche, vous ne serez pas déçus !

Kate Manzana

vendredi 25 novembre 2011

Marks & Spencer is back !

Que celles qui n'ont pas pleuré la fermeture des Marks & Spencer (du moins pour les parisiennes) lèvent le doigt !




Oui, on a toutes déploré de ne plus trouver à Paris ces délicieux pancakes, coleslaw, cheddar, stilton, plats indiens, biscuits, condiments, lingerie coquette et confortable, savonnettes au magnolia dans de si jolis emballages "So british" et encore beaucoup d'autres "anglaiseries" aux décors savamment et délicatement désuets.

Et bien réjouissez-vous, Marks & Spencer a rouvert ses portes hier, le 24 novembre donc, et rien moins que sur les Champs-Elysées ! Le magasin avait été inauguré la veille, en présence de Marc Bolland (Président de M&S), Rosie Huntington-Whiteley, l'égérie de la marque, et quelques stars parmi lesquelles Emma de Caunes ou encore Sarah Marshall, qui ont pu admirer les collections en avant-première et voir les défilés lingerie et mode féminine tout en dégustant le fameux Christmas Pudding.

Hier donc, j'étais dans les starting-blocks (oui parce que pour vous situez, mon bureau est à 100 mètres du M&S et que cela fait 1 an que je suis la progression (lente !) des travaux. Je frémissais donc d'impatience juste avant 11 h 30 (heure de l'ouverture officielle du magasin). A moi le Christmas Pudding !!! Las, arrivant devant le magasin, c'est environ une file d'attente de bien 3 heures qui m'attendait ! Des vigiles, des cordons de sécurité, des attachées de presse, des talkies-walkies greffés à l'oreille, un quarteron de stagiaires et autres virevoltant s'agitant. J'ai renoncé, j'avoue. J'étais partie avec les meilleures intentions du monde pour vous faire un joli compte rendu des rayons, et bien, comme moi, vous attendrez bien encore un peu....

(Marks & Spencer - 100 avenue des Champs-Elysées - 75008 Paris et sur Internet pour les non-parisiens : www.marksandspencer.fr)

Pam Baileys

jeudi 24 novembre 2011

Happy Birthday

Il y a quelques jours j'ai fêté mon anniversaire avec mes copines d'anniversaire depuis plus de 10 ans, dont Pam of course.
4 copines qui tous les ans fêtent leurs 31 ans ... cette année il aurait fallu remplacer le 3 par un 4, mais non, 31 c'est le bon chiffre.
En septembre on fête les anniversaires de Pam et VV from Bagnolet, et en novembre de Isa et moi, nées le même jours (à 2 ans d'écart).

Cette année c'est Josefin, le restaurant de l'hôtel Banke qui a eu notre faveur.
Dans le 9e, à deux des Galeries Lafayette et de l'Opéra, cet hôtel s'est installé dans d'anciens locaux bancaires. Vous savez du style belles banques haussmaniennes, classe quoi !

Nous avons très bien mangé, le service est impeccable et le lieu très calme.


Et puis j'ai été gâtée, oui, oui :-)
J'adoooooooooooore les anniversaires !
Merci les copines !


Je pense que vous aurez droit à un article sur les cookies, que ça vienne de moi ou de Pam, on verra qui dégaine la plus vite !

Kate Manzana

Josefin -Hôtel Banke - 20 rue Lafayette - Paris 9

mercredi 16 novembre 2011

Ramène ta fraise !

Je n'aime généralement pas porter de collier. Mais comme je suis une femme, je suis pleine de contradictions :-) et il m'arrive d'acheter des colliers. Le dernier en date c'est celui-ci, une petite fraise en métal. Oui, après ma bague "pomme" je donne maintenant dans la fraise, j'aime bien les bijoux fruités/vitaminés.

Et cette petite fraise autour de mon cou me donne la pêche.




Et puis son prix ! modique ! 4,95 euros chez Claire's ! Voilà un petit bijou que mon banquier devrait adorer !



Pam Baileys

dimanche 13 novembre 2011

L'ingrédient secret

Il y a quelques temps, alors que je cherchais du citron confit pour me lancer dans une recette (oui oui !), la vendeuse m'a envoyée dans un rayon où j'ai certes vu de la pâte de citron de confit au gingembre (que je n'ai pas achetée), mais j'ai surtout vu ça :


Et ça, c'est l'ingrédient miracle !!! enfin celui du moment ...
C'est absolument parfait.

Et ce week-end je l'ai utilisé pour  faire un velouté de chou-fleur digne des plus grands noms de la cuisine française, rien de moins.

Pour 2 gros bols :
- 400 gr de chou-fleur (congelé chez Picard c'est très bien et ça pue pas)
- 1 oignon
- 1cc d'huile aromatisé à l'ail (un autre ingrédient secret découvert sur Cuisine TV avec Nigela Lawson, l'anglaise qui fait les plats les plus anglais du monde) ou alors de l'huile d'olive et de l'ail :-)
- 1/2 litre d'eau avec 2 bouillons cube (les rouge et or de Maggi, les vrais quoi)
- 1 CS de crème liquide soja (vous savez ce qui ressemble à la crème fraîche mais sans crème, plus digeste, le 3e ingrédient secret)
- THE PÂTE DE CURRY

1 - dans une casserole faire cuire le chou fleur 7 minutes dans de l'eau (pas le 1/2 litre, mais d'autre eau)
2 - pendant ce temps, faire revenir l'oignon émincé dans l'huile à l'ail (bonjour l'haleine)
3 - égoutter le chou-fleur
4 - dans la casserole du chou-fleur (vide donc), mettre l'oignon, le 1/2 litre d'eau avec les 2 bouillons cube, le chou-fleur et 1 cc (pas trop) de pâte de curry au gingembre. Laisser mijoter 20 minutes
5 - passer le tout au mixer/blender (moi je ne mets pas toute l'eau pour que ça soit plus velouté) en ajoutant la cuiller de crème soja liquide.
6 - salez et poivrez si vous en avez envie mais à mon avis ça n'est pas nécessaire
7 - dégustez la merveille

Je suis fan, inconditionnelle et parfois je mélange la pâte de curry avec un peu de crème et hop sur le riz, les pâtes, une pomme de terre vapeur. C'est presque aussi bon que le chocolat ... presque ...

Kate Manzana

ps : en plus c'est pas trop cher et on en trouve partout près des condiment et autres herbes aromatiques.

jeudi 10 novembre 2011

Les tee shirt de Rudolf

Il y a quelques temps, Pam a inauguré sa rubrique "les robes de Pam" et croyez moi vous n'allez pas être déçu(e)s !
De mon côté, je relève le défi avec les tee-shirt de mon p'tit Rudolf. Et oui, 5 ans c'est l'âge des "beaux gosses" et pas question de passer pour un ringard à l'école.

Pour cette première note sur le sujet, je vous propose 2 modèles estivaux qui ne m'ont pas coûté bien cher (H&M oblige) et qui ont fait fureur chez les moins de 5 ans : le dinosaure (obligé) et le Barbapapa (re-obligé).

THE dinosaure en fureur en juin à Lyon

le Barbapapa en Août à Rome

Ah oui, les tee-shirts ça voyage aussi !

Kate Manzana

lundi 7 novembre 2011

Banc d'essai : Le vào Kiko

Dans la jungle des marques de vernis, et il y en a de plus en plus, je n'avais pas encore testé les vernis de la marque italienne Kiko. Shame on me !  Mais bon, je n'ai que 10 ongles (de main) et pas le temps de tout essayer, quand même, j'ai un job parfois !

Je suis donc partie cette semaine en expédition Kiko (passage du Havre, Gare Saint-Lazare, à Paris, pour situer), à l'heure du déjeuner, pensant  qu'il n'y aurait pas trop de monde dans la riquiqui-boutique (3 m2 de linéaires archi bourrés de produits, difficile de circuler autour, difficile de s'y retrouver dans tous ces produits, et des tas de minettes gloussantes et superexitées virevoltant dans les 3 m2, c'est très vite étouffant/agaçant !).

20 minutes plus tard je suis ressortie avec.... 1 seul vernis !!! Si ! Aussi incroyable que cela puisse paraître ! Il faut dire que les couleurs proposées (une soixantaine je dirais) ben je les ai déjà presque toutes (du moins celles qui me plaisent). Mais j'ai quand même trouvé mon bonheur avec le vernis n° 314 (oui chez Kiko pas de noms exotiques, que des numéros, c'est un peu tristoune d'ailleurs). Donc le n° 314 c'est exactement THE rose que je cherchais (et que je ne trouvais pas) dans d'autres marques (à part Essie mais là ce mois-ci on va dire que je limite les dégâts côté finances because les impôts grrrrrrr). Un rose twisté d'une légère pointe de mauve, un vernis crème, facile à porter avec un peu tout.


La texture du vernis est assez couvrante et bien pigmentée. En revanche, le pinceau est assez pourri, le mien a des poils qui partent un peu dans tous les sens et j'ai dû en couper certains pour réussir l'application !

Bilan, pour 3,95 euros les 11 ml, on va dire que c'est très correct. Mais à prix équivalent, je préfère et de très loin les vernis H&M. Cet achat-là, c'est juste parce que le n°314 était la teinte que je cherchais mais sinon je ne pense pas en acheter d'autres.

(2 couches "n°314/Kiko" + 1 couche "Colorfix/Mavadry" + 1 couche "Mavadry/Mavala").

Pam Baileys




mercredi 2 novembre 2011

Le petit oiseau (de luxe) va sortir

Il y a en ce moment, dans le hall du MK2 Bibliothèque dans le 13e et aussi chez Franck & Fils dans le 16e, on trouve de drôles de photomaton.
En fait un photomaton de luxe : un photomaton Harcourt ! autrement appelé "la cabine studio Harcourt" (c'est plus chic, non ?)


Alors, pour ceux qui ne connaissent pas Harcourt, vous avez certainement déjà vu ces mythiques portraits en noir et blanc avec ces ombres savamment orientées qui subliment le modèle.

   
les stars en B : Barbot, Berry, Bruel ...

C'est en 1934 que l'aventure commence et depuis le Studio Harcourt immortalise les plus grands mais aussi les anonymes. C'est la lumière qui fait tout, pas de flash mais des lumières indirectes qui captent le naturel de chacun et sublime la personne, la rendant intemporelle.

Bon, un portrait Harcourt c'est beau mais c'est cher (900€).
Et là, avec ce Studio Cabine, pour 10€, à vous un portrait 10x15 marqué d'un H. Et la qualité est là ! Il aura fallu plus d'un an de recherche sur la lumière pour que cette cabine de haute technicité voit le jour. Elle retranscrit avec magie le dégradé d'ombres et lumières ainsi que le mythique "Halo" sans utiliser de flash mais une lumière continue comme au Studio Harcourt.
Et comme le développement n'est pas chimique, 5 secondes après le portrait est là dans vos mains ... magie !

Rudolf s'est plié au jeu ... avec ses parents derrière le rideau rouge : "lève la tête ! tourne là un peu à droite ! regarde au loin ! reste sérieux!!!"

photo de photo avec iphone ...

Kate Manzana

en savoir plus
http://www.studio-harcourt.eu/fr/studio/actualite/26

mercredi 26 octobre 2011

Figurante dans les cocktails

Après "Shrimp cocktail", voici un nouveau vernis pour vos folles soirées ! Bon, OK, vous allez me dire que la couleur est improbable, importable, qu'elle ne va pas à votre teint, mais alors pas du tout, et que voilà, c'est bien pour une soirée ce genre de couleur, mais pas pour tous les jours (pour tous les jours, on s'en fout, on a "Velvet/Mavala" de toutes façons :-) 

Ce qui m'a séduite dans "Wanna Pepperoni" c'est que 1) c'est une couleur que je n'avais pas (si si je le jure !), 2) je l'ai acheté parce que lors de notre dernière virée shopping avec Kate je n'étais pas du tout mais alors pas du tout enthousiaste par tous les vernis qu'on a vus (et pourtant, on en a vu/essayé des tonnes !) et que je ne savais pas quoi acheter, 3) je peux postuler pour faire de la figuration dans les cocktails : ben oui, ne dirait-on pas que j'ai enfoncé des olives vertes (dénoyautées, précision importante !) au bout de mes doigts ? Pratique comme pic à olives non ?



Donc, voilà la bête en question ! (ici avec flash).

Et qu'on ne m'appelle pas Shrek ! :-)
"
(2 couches "Wanna Pepperoni/H&M + 1 couche "Mavadry/Mavala").

Pam Baileys

jeudi 20 octobre 2011

Tenue de cocktail exigée

Les vernis pailletés, irisés, métallisés ne sont pas mes favoris. Je préfère, et de loin, les vernis crème.

Mais voilà, comme en toute chose il faut savoir faire exception, j'ai craqué pour ce corail métallisé argenté.


"Shrimp cocktail" donne un petit air estival à l'automne et réchauffe un peu les journées grises.

Sa texture est parfaite, ultra couvrante, il s'applique et sèche en deux temps trois mouvements. Parfait pour  faire une arrivée en beauté dans les cocktails parisiens :-)


(2 couches "Shrimp cocktail" - Sephora + 1 couche "Colorfix" Mavadry)

Pam Baileys

mercredi 12 octobre 2011

Le Petit Chaperon rouge

Quand j'étais petite, j'avais une fascination pour les chaussures rouges. Je me souviens que j'avais tanné Maman Baileys parce que je voulais, je rêvais, j'étais obsédée par une paire de ballerines en cuir vernis rouge.... et elle avait fini par cédé et me les offrir. Je les aimais tellement que j'aurais pu dormir avec.

Et puis les années ont passé et, si la fascination est demeurée, je n'ai plus jamais osé porter de chaussures rouges.... jusqu'à ce jour où j'ai totalement craqué pour ce modèle, entre bottines et escarpins :

Bon, maintenant que je les ai, il va falloir oser sortir dans la rue avec. Autant ça ne me pose pas de problèmes d'en porter sur les ongles, bien au contraire, autant, aux pieds, je trouve ça plus osé. Mais bon, j'assume la couleur ongulaire, je peux bien assumer la couleur à mes pieds. Et puis comme me le dit mon amie J. "ahhh les chaussures rouges, une fois que tu y as goûté , tu ne peux plus t'en passer ! ça donne la pêche, de l'assurance, une sensation de conquérir le monde et que tout est possible !".

Alors voilà, demain, je porte mes chaussures rouges en chantant à tue-tête, comme Nancy Sinatra "These boots are made for walkin'" ...

http://www.youtube.com/watch?v=SbyAZQ45uww&feature=related


Pam Baileys

lundi 3 octobre 2011

Telle fille, telle mère

Ma croisade pour les ongles vernis n'en finit pas ! Et c'est au tour de Maman Baileys de s'être laissée prise dans mes filets ! C'est sûr qu'à force de me voir les ongles toujours vernis de mille couleurs, elle a craqué, et m'a demandé de lui trouver "un vernis rose". Un vernis rose ! Tu parles Charles comme si c'était simple ! Parce que des roses, il y en a des tas : des fushias, des pâles, des orangés, des bleutés, des pailletés, des irisés, des métallisés, bref, un vrai casse-tête et pas plus d'indications maternelles que "un vernis rose".

C'est une fois devant le rayon Peggy Sage que mon oeil a été attiré par "Valence". Rose, certes, mais alors rose bien rose, pas de concession, il claque il pète il envoie ! Là j'hésite un peu. Heum heum, n'est-ce pas un peu too much pour une honorable mère de famille ? Fi ! J'aime, je succombe : elle aimera, elle succombera !

Et le charme a opéré ! Elle a beaucoup aimé ! Et c'est en le voyant posé sur ses ongles que j'ai craqué : je le veux aussi ! 

Alors, re-direction le rayon Peggy Sage pour m'offrir le même.


Ah ben je vous avais prévenues ! Il claque !

Et puis voilà, j'ai aussi trouvé la robe qui va avec, pour un look girly girly en ce début d'automne... très estival ! :-)


Maman Baileys ne m'a pas suivi sur ce coup-là et n'a pas opté pour la robe rose. 

(2 couches "Valence" - Peggy Sage + 1 couche "Colorfix" Mavala + 1 couche "Mavadry" - Mavala)

Pam Baileys

jeudi 29 septembre 2011

Un siècle de beauté


Qu'avons-nous, femmes du XXIe siècle, en commun avec Cléopâtre ou Néfertiti ? A priori pas grand chose, si ce n'est, depuis des temps immémoriaux, un fort penchant pour la beauté, la nôtre, l'envie de plaire, de se plaire, d'être toujours plus belle, parfois même toujours plus jeune, ce goût du maquillage et autres artifices qui font de nous "nous, en mieux".



Dès l'Antiquité, les femmes ont été soucieuses de leur apparence, usant de fards, onguents, poudres et autres huiles parfumées, comme en témoignent les ustensiles (pots, brosses, peignes, amphores à parfum, cassolettes brûle-parfums) retrouvés sur des sites de fouilles archéologiques dans le monde entier.

Mais c'est sur le XXe siècle que porte cet ouvrage, véritable Bible de la beauté, à l'iconographie foisonnante et superbe. Un siècle de beauté, couvert par plusieurs journalistes spécialisées dans la presse beauté : Nathalie Chahine, Catherine Jazdewski, Marie-Pierre Lannelongue, Fabienne Rousso, Dorothy Schefer Faux et Francine Vormese.

L'ouvrage, très complet, balaie donc le XXe siècle : beauté, cosmétiques, magazines, parfums, il narre l'histoire universelle de la beauté, de l'Afrique à l'Asie et l'Europe.



Dans cet ouvrage unique, on apprendra notamment que, dès 1897, un pharmacien japonais du nom de Fukuhara Shiseido créé la lotion "Eudermine" pour préserver l'éclat de la peau, que François Bourjois créé dès 1912 le fameux fard à joues en poudre pressée packagé dans sa petite boite ronde que nous connaissons toutes. "Le fard pastel", tel est son nom, est toujours l'un des produits les plus vendus et chaque femme en possède au moins une petite boite dans sa trousse à maquillage. La première teinte, "Cendre de roses" est d'ailleurs, de nos jours, toujours la plus demandée. Mais aussi que Eugène Schueller, chimiste de sa profession,  et qui n'est autre que le père d'une certaine... Liliane Bettencourt...créé en 1909 la première coloration chimique pour les cheveux (il fondera en 1910 la société L'Oréal).


En poursuivant la lecture au fil des décennies, on apprend que Coco Chanel, dès 1925, brise les tabous et prône la liberté de mouvements pour les tenues des femmes, les sports de plein air, les bains de mer, le teint hâlé (jusqu'à présent et depuis l'aube des temps, le teint pâle voire diaphane a toujours été considéré comme un signe de beauté). Des femmes comme Jeanne Piaubert, kinésithérapeute, ou encore Nadia Payot, jeune émigrée ukrainienne, révolutionnent la vie des femmes en leur proposant nombre de crèmes, massages faciaux, remodelage de la silhouette. Elles ouvrent à Paris leurs premiers salons dès 1928. L'écrivain Colette ouvrira en 1932 son propre salon de beauté, qui fermera à la Seconde Guerre mondiale.


Au début des années 30, c'est à un jeune émigré russe, Max Factor, que nous devons l'invention du premier fond de teint. Ce dernier était en effet le maquilleur chouchou des stars hollywoodiennes. Il inventa le "Pan cake", fond de teint compact qui accroche la lumière artificielle et donne ce teint au grain si fin inimitable aux stars du grand écran.

Dès 1940, le maquillage se fait plus agressif : c'est la naissance du concept de "vamp", véhiculé par le grand écran et les stars telles que Lana Turner, Véronika Lake, Gene Tierney, Lauren Bacall, ou encore Betty Grabble. Le glamour est né. Ongles laqués de rouge, bouche carmin également, cheveux platine, crantés, laqués. La femme passe des heures dans sa salle de bains pour parvenir, à son niveau, et sans l'aide de professionnels, à se maquiller et se coiffer selon les diktats de la mode de l'époque.



Il faut attendre les années 70 pour voir naître un véritable boom dans l'industrie cosmétique. Le maquillage, dont les trois grandes prêtresses Elizabeth Arden, Helena RUbinstein et Estée Lauder se partagent le monopole, fait désormais partie intégrante de la vie des femmes. Tubes de rouges à lèvres, crèmes de jeunesse, soins en instituts, mascaras, poudres libres, masques, toute une palette de produits prend désormais place intégrante dans chaque salle de bain et dans le quotidien de chaque femme.


 De grands noms de la coiffure, tels Vidal Sassoon, Jean-Louis David ou encore Jean-Marc Maniatis apparaissent, créant chacun un style différent pour chaque femme, pour chaque chevelure.


C'est aussi dans les années 70 qu'apparaissent les premiers soins de comblement des rides avec l'émergence du collagène et des silicones. La marque Clinique inaugure son célèbre soin "Basic 3 temps", au succès jamais démenti et que les consommatrices soucieuses de la beauté et de la préservation de la jeunesse de leur peau achètent toujours.

Les soins cosmétiques, grâce à la science, deviennent toujours de plus en plus efficaces : ils dégomment les rides, font le teint plus clair, la peau plus souple, grâce au rétinol, aux AHA (acides de fruits) et autres crèmes au co-enzyme Q10. Les crèmes se font "intelligentes" et s'adaptent à chaque type de peau. La course effrénée des grands laboratoires de cosmétiques ne s'arrête plus, proposant à un rythme très soutenu de nouvelles crèmes, de nouveaux fards, de nouvelles teintes...

"Beauté du siècle" fait également la part belle à la presse spécialisée dans la beauté. Ainsi nous apprenons que le premier magazine consacré à la beauté des femmes, "Le Cabinet des modes", voit le  jour en 1780, ou que le magazine (toujours dans nos kiosques) "Votre beauté" fait son apparition dès 1933, et aura notamment pour rédacteur en chef, entre 1945 et 1947 un certain.... François Mitterrand !).

Et comme la beauté des femmes passe également par l'art du parfumage, l'ouvrage consacre un long chapître à l'histoire du parfum.

(Jacques Guerlain, créateur des plus grands parfums Guerlain, dont le célébrissime "L'heure bleue", ici dans son laboratoire)



Cet ouvrage extrêmement complet est un outil indispensable pour les passionnées de beauté. Qu'elles soient novices ou confirmées, toutes apprendront quelque chose dans cet ouvrage, truffé de somptueuses images, anecdotes, et autres renseignements historiques et pratiques. Une véritable Bible de la beauté.

("Beauté du siècle" - éditions Assouline - 2001 - 400 pages)

Pam Baileys