mercredi 27 février 2013

1870 1871 l'année terrible

Le week end, en ce moment il ne fait bien chaud et pas très beau, alors on se promène pas loin de chez soi. C'est plus sûr.
Dimanche avec Karl et Rudolf, nous avons fait une promenade à St Cloud pour arriver au Musée des Avelines où une expo se tient sur l'année 1870 : année terrible pour St Cloud.
 


Le musée des Avelines, je vous en avais parlé ICI
Depusi je n'y étais pas retournée, jusqu'à ce week end. Et j'ai bien fait !
 
L'exposition raconte l'année 1870/1871 à St Cloud et les ravages que les prussiens ont fait sur la ville. Le château du parc est brûlée, les maisons incendiés ... La Bataille de Buzenval se tient à 2 pas et de nombreux morts sont comptés.
Puis c'est la Commune et là encore St Cloud est cruellement touchée.
La guerre contre les prussiens est une période assez mal connue, quant à la Commune on la situe plutôt à la Butte aux Cailles ou Montmartre et pourtant sur les côteaux de St Cloud ça cogne fort aussi.
Le musée des Avelines raconte tout cela avec comme arrière plan St Cloud, ce qui donne une proximité à ces 2 années charnière pour la France. Après la Commune c'est la 3ème République, puis assez vite la Belle Epoque et les batailles s'oublient, enfin presque, 1914 n'est pas si loin.
 
Une jolie exposition, très historique et magnifiquement documentée (tableaux, photos, et même photos en 3D d'époque !).
En plus c'est gratuit, et il y a régulièrement une historienne qui fait une visite guidée. On n'en a pas profité, il y avait trop de monde, hélàs.
 
Et toujours en bas une grande salle avec des documents sur la ville, dont cette jolie affiche qui rappelle que le parc de St Cloud a toujours accueilli des fêtes, aujourd'hui c'est Rock en Seine :-)


Si vous passez par là, que vous aimez l'histoire, l'exposition se tient jusqu'au 24 mars et vous apprendrez plein de choses sur 1870-1871, la guerre contre les prussiens et la Commune.
 
Kate Manzana
 
 
 

dimanche 24 février 2013

Brèves de Week End

Hello les lecteurs ! pas trop froid ? à Paris ça caille ! à peine quelques degrés et surtout ce vent qui glace l'atmosphère.
Donc les week end sont assez cocooning : de la lecture, de la cuisine et des bons thés, ah une expo aussi mais je vous en parlerai mercredi.
 
Samedi, Karl voulait absolument aller se réapprovisionner en thé vert à la menthe chez Kusmi. Alors, fous que nous sommes, à 14h30 direction les Champs Elysées ... finalement pas tant de monde que ça, le froid peut-être ?
On a pensé à Pam qui connait bien le coin et doit le fuir le samedi !
 
On s'engouffre chez Kusmi et on craque sur 3 thés


Le fameux thé vert à la menthe nana que Karl adore. Il faut dire qu'il n'aime que les thés très sucrés, c'est pas un vrai amateur de thé ce Karl ...
Le Be Cool, thé du soir à la menthe et au réglisse. Très agréable et léger.
Et enfin, j'ai testé le Earl Grey, goût polonais, aux agrumes. J'aime beaucoup. Normal, j'apprécie les thés aux agrumes et les thés russes. Là c'est la Pologne, ça change ...
 
En sortant de chez Kusmi, Rudolf regarde un spectacle de rue avec des types qui dansent et font rigoler les touristes. Pour mieux voir Karl porte Rudolf sur ses épaules. A peine monté sur les épaules, une jeune fille japonaise se précipite et demande à prendre une photo. Au Japon, ça doit être considéré comme une coutume très française ...
 
Avant de repartir dans notre banlieue, nous faisons une halte à l'Atelier Renault, regarder les voitures et se désaltérer un peu. Quand il fait froid, il y a du chauffage partout et on a soif !
 

 
Bon, une après midi pas très bon marché parce que boire un pot sur les Champs Elysées c'est quand même l'arnaque à touristes, mais parfois on joue nous aussi les touristes ...

En rentrant je me suis lancée dans une tatin aux oignons, cela faisait longtemps que je voulais essayer. 1 kg d'oignons caramélisés à la poêle avec un peu d'huile d'olive, une pâte brisée et hop au four ! La prochaine fois je mélangerai avec des oignons rouges et je laisserai les oignons caraméliser plus dans la poêle. Mais c'était une première assez réussie tout de même !


Et le lendemain, j'ai relevé le défi de la Blanquette de Veau ! un défi pour moi qui n'aime pas trop cuisiner la viande, ni la manger d'ailleurs, enfin pas trop souvent. Mais j'étais tentée de faire une recette bien de chez nous, et je voulais le faire au moins une fois, histoire de voir là où ça pêche avant de recommencer.
J'ai pris une recette assez classique et je me suis jetée à l'eau. Et c'est le cas de le dire puisque j'ai mal lu une ligne et j'ai fait revenir le plat dans 2 dl d'eau au lieu de 2 litres !!! j'ai rectifié le tir mais vraiment quelle cruche. Ca me semblait bizarre sur le moment, j'ai relu, mal relu et j'ai continué ... Au final j'ai bien réussi la sauce mais la viande était un peu dure. Au moins je sais faire maintenant !
 
 
 
Le week end prochain on part en vacances et pas de cuisine en vue ... si le wifi est là je vous posterai quelques cartes postales, ça vaut le coup, mais chut je ne vous révèle pas encore le lieu ...
 
Bonne semaine les pas it blogueurs !
Kate Manzana
 

 

vendredi 22 février 2013

Lorenzo ou la fin des Medicis de Sarah Frydman


Florence, 1458. La cité est plus florissante que jamais, prospère, le commerce s'y exerce à son avantage, le peuple vénère toujours autant Cosimo de Medicis, dont la popularité est à son zénith. En son palais, Cosimo reçoit toutes sortes d'artistes, leur offre gite et couvert, leur ouvre toutes grandes les portes de sa résidence afin que ceux-ci puissent exercer leur art sans avoir à se soucier des contigences. La cité florentine atteint un rayonnement international, c'est une cité puissante, heureuse, qu'aucune guerre ou aucun fléau n'est encore venu sâlir.

Cosimo, l'homme pugnace, le banquier richissime, le patriarche, règne d'une main de fer sur sa famille et sa descendance. Agé, il se préoccupe désormais de léguer sa fortune et le renom dont jouit le nom des Medicis à travers le monde. Son fils aîné, Piero, infirme et souffreteux, n'a pas l'envergure pour lui succéder, aussi désignera-t-il Lorenzo, son jeune fils, comme héritier. Un héritage lourd fait d'obligations, de devoirs, d'intransigeance, d'intelligence et de bien d'autres qualités encore.
Comme toujours chez les Medicis, c'est presque un atavisme, les hommes sont frappés de laideur physique, quand ce n'est pas laideur et maladie. Lorenzo n'y échappe pas. Jeune homme au faciès ingrat, il développe pourtant très tôt d'autres richesses de par son immense savoir, sa sensibilité aux arts. Happé à son adolescence par la beauté de Lucrezia Donati, qu'il côtoie depuis son enfance, Lorenzo se meurt d'amour et se consume : son père décide que cette jeune fille ne sera pas son épouse, et il lui choisit la jeune et insignifiante princesse Clarice, issue d'une famille a l'immense fortune. Comme par le passé, les hymens florentins font fi de l'amour, et ne se crééent que pour des raisons pécuniaires.

Lorenzo devient père à son tour. Bientôt, Cosimo, désigné par le peuple comme "Le père de la patrie" s'éteint, laissant à ce fils tout le poids des responsabilités que son rang impose. Le jeune homme reprend vite les commandes du navire, et manie si bien la barre que la cité ne peut également que se réjouir de cet homme de bon sens, généreux envers les pauvres, accueillant nombre d'artistes en son palais, favorisant l'éclosion des jeunes talents, tels, notamment, celui du jeune Botticelli.
Mais bientôt et comme toujours l'histoire se répète, Lorenzo doit affronter ses ennemis, leurs coups bas et trahisons. Il n'en sortira pas indemne et sa santé en pâtira. De plus, il apprendra que sa jeune Lucrezia, dont il n'a cessé un seul jour d'être fou amoureux, prendra bientôt pour époux un vil et retors jeune et bel associé de Cosimo, Niccolo Ardinghelli. Fou de douleur, Lorenzo se consumera à petit feu, noyant son chagrin dans le travail.

Il n'aura plus d'autre satisfaction que d'élever et voir grandir sa progéniture, afin de transmettre, à son tour, tout le savoir et la fortune des Medicis.

Bientôt, la cité florentine cèdera sa quiétude face à la menace qui gronde en la personne du moine Savonarole : avec ce dernier des jours obscurs s'annoncent, les gros nuages de l'inquisition viennent assombrir les cieux jusqu'alors si cléments...

"Lorenzo ou la fin des Medicis". La Saga des Medicis - tome 3 de Sarah Frydman - 602 pages - Editions Albin Michel 1991 et Livre de Poche.

Pam Baileys


lundi 18 février 2013

Essie Leading Lady

Voilà le vernis que j'aurais dû porter le soir du réveillon de Noël s'il n'avait pas été en rupture de stock ! Et oui, "Leading Lady" le dernier rouge pailleté de la collection éponyme chez Essie a du succès, beaucoup de succès ! La paillette, ça plaît.

Bon je renie un peu le "no paillettes" ces derniers temps mais que voulez-vous, j'aime le glitter (de temps en temps) et ce rouge là, même sans les petites paillettes rouges qui baignent dedans, il est juste très beau. Allez, assez palabré, je vous présente la chose (accompagnée de l'implacable et indétrônable "Mavadry") :


Aaahhh cette couleur rubis profond, c'est vraiment l'une de mes préférées !

Et voici la chose pailletée "in situ" :


Pose hyper rapide : le pinceau (France) se déploie impeccablement sur l'ongle, et comme mes ongles sont assez étroits, un seul passage suffit pour les recouvrir, merci Essie ! Ensuite : le temps de séchage est top ! Super rapide ! Le seul petit hic : 3 couches sont nécessaires pour obtenir une bonne couvrance (bon, 2 couches en fait, mais je suis un peu perfectionniste). Voilà, j'aime beaucoup le rendu, qui ne fait pas tant "boule à facettes" qu'il n'y parait (surtout en ces jours hivernaux où la lumière est bien basse).

(3 couches "Leading Lady"/Essie + 1 couche "Mavadry"/Mavala)

Pam Baileys

vendredi 15 février 2013

Le Muséum d'histoire naturelle et la Grande galerie de l'évolution ou : la jungle en milieu urbain


Des lions, des gazelles, des gnous, des éléphants, des lycaons, des wapitis, des ours, un dodo, des loutres, des requins, une baleine, des centaines de papillons et d'insectes, des pigeons, des renards, des buffles, des vaches, des guépards, des gerbilles, des chats sauvages, des girafes, des cormorans, des aigles, des boas, des chauve-souris, des colibris... mais oui, vous êtes bien à Paris !

Paris, et plus exactement dans le Vème arrondissement (donc en son centre), qui abrite le Muséum d'histoire naturelle et la Grande Galerie de l'Evolution. 



Au coeur de cet immense bâtiment, aux parquets de bois brut, structures de métal ouvragées et verrière immense, décor colonial, murs en boiseries sombres, passerelles de verre dépoli, alcôves aux vitrines façon "apothicaire",  circule tout un bestiaire fascinant, la plupart des animaux sont naturalisés, et c'est extrêmement trompeur, j'ai bien failli pousser un cri de peur en voyant le lion bondir sur moi !!! Ambiance Docteur Livingstone assurée !

Jamais tant d'espèces animales ne se sont cotoyées de si près : dans la paix la plus absolue, le tigre frôle la gazelle sans jamais poser sa grosse patte griffue sur son flanc : tous animaux respectueux les uns des autres, figés pour l'éternité dans leur pose recréée "in situ".



La Grande Galerie de l'Evolution ne se contente pas d'exposer ces mammifères, et une large place est faite à toute sorte de vie animale (ou végétale). Le processus de naturalisation est très bien expliqué, un grand espace est réservé aux enfants, de nombreuses bornes interactives jalonnent le parcours du visiteur, des plaques d'informations sont disponibles un peu partout, se fondant naturellement dans le décor, des alcôves dissimulent habilement des écrans de télé où sont diffusés petits films explicatifs, documentaires, schémas etc... Une vraie mine d'information, un espace immense où la lumière très tamisée ajoute au mystère et à la presque irréalité du lieu, une déambulation parfaite (un parcours n'est pas prédéfini comme c'est souvent le cas dans les grands lieux d'exposition), on peut aller, venir, revenir sur ses pas, tourner autour des bêtes (presque les caresser, mais c'est quand même interdit), avec cette impression que chaque animal pourrait, le temps d'un instant, bondir, se dresser sur ses pattes, progresser dans l'océan, rugir, s'envoler...




Ma visite en ce lieu a été un moment tout à fait enchanteur en même temps qu'instructif, un moment suspendu, une pause dans le temps et dans mon espace de vie parisienne. Poésie, enchantement, grandeur, pédagogie, voici les mots qui me viennent en sortant de ce lieu magique que je n'avais encore jamais visité. J'y retournerai, c'est certain ! Le Muséum est immense, il faut bien prévoir 4 heures de visite si l'on veut à peu près tout voir, et encore, je compte juste. Les enfants sont les bienvenus, les parents seront ravis de les laisser déambuler sans crainte dans la savane, trop heureux, eux-mêmes, de flatter sans danger la croupe du guépard.

Le clou de la visite ? le squelette de baleine !! des dimensions incroyables qui nous rendent petits, tout petits, humbles et reconnaissants face à Mère Nature.

Un seul petit bémol à cette visite enchanteresse : nombre d'animaux qui ne sont pas naturalisés sont représentés en maquettes que j'ai trouvées vraiment mal faites et très "carton pâte".

Pour en savoir plus : http://www.mnhn.fr/le-museum/

Pam Baileys

mercredi 13 février 2013

Le nude glitter

Oui oui oui, les fêtes sont passées, je sais bien, mais moi, j'ai encore du stock de paillettes de Noël à écouler. Et puis on m'a offert ce très joli vernis transparent bourré de petites paillettes dorées, je l'aime beaucoup !

Donc que faire de ces petites paillettes dorées ? Un combo classique nude/glitter.
J'ai utilisé pour cela "Sable Sand" de O.P.I. pour la base, c'est une teinte que j'adore, un beige très très clair ni trop jaune ni trop rose (par contre sa couvrance n'est pas géniale, même avec deux couches).



Et puis pour égailler un peu tout ça, allez hop, une pluie de paillettes en dégradé. Cette fois-ci je suis partie du bout de l'ongle pour remonter vers la lunule.



Voilà le rendu, que j'aime beaucoup ! C'est frais et léger, discret, avec une touche un peu festive, et un tout plutôt romantique et conte de fées.

Je ne sais pas d'où vient le vernis pailleté, il n'y a pas de marque sur le flacon, qui porte juste l'inscrition "Vernis à ongles pailleté", mais il est super agréable à poser. Parce que les paillettes trempouillent vraiment dans du vernis (et pas du gel comme c'est souvent le cas pour les vernis pailletés), donc ça s'étale parfaitement bien sans faire de surcharge (contrairement au gel), et il est bien chargé en paillettes, pas besoin de repasser 10 fois sur l'ongle. Bref, je suis conquise et c'est sûrement une association que je referai.

(2 couches "Sable Sand"/O.P.I. + 1 couche vernis paillettes en dégradé + 1 couche "Mavadry"/Mavala)

Pam Baileys





dimanche 10 février 2013

Carte postale de Bourges

Bonjour à tous !
une carte postale de Bourges où avec Karl et Rudolf nous sommes passés ce week-end, après un arrêt dans un village berrichon pour affaires familiales.
Et nous en avons profité pour aller voir une amie fraîchement arrivée à Bourges. Après une chaleureuse soirée au coin du feu, nous avons déambulé dans les vieilles rues de Bourges.
En voici quelques souvenirs ....
 
 
Au détour d'une rue, l'imposante et superbe cathédrale St Etienne de Bourges
 
Le square en arrivant à la cathédrale, avec son kiosque à musique qui fait danser
les foules les dimanches ensoleillés

Et oui Bourges c'est le Berry et ces berrichons !
 
Un détail des magnifiques vitraux de la cathédrale
Hélas le choeur était inaccessible pendant la messe

Le pélican  (original du 16è siècle) était placé au sommet de la tour nord de la cathédrale.
La cathédrale de Bourges est la seule surmontée d'un pélican,
habituellement on trouve un coq au sommet des clochers.
Le coq est l'emblème du Christ ressuscité, le pélican celui du Christ eucharistique.
L'antique légende affirme que le pélican se sacrifie pour sauver ses petits
en s'ouvrant les entrailles avec son énorme bec et les abreuvant de son sang

Portail du jugement dernier

Portail du jugement dernier

Au détour des rues, des bas et hauts reliefs sur les maisons anciennes ...


L'hotel Lallemand : une merveille de symboles

Une des nombreuses maisons à colombage
 
 
Alors vraiment si vous ne connaissez pas Bourges, allez-y ! il y a de quoi visiter, percer les mystères, parcourir l'histoire, bien manger, flâner ... dans les jolies rue de cette ville, qui ne l'oublions pas, est le centre géographique de notre beau pays.
 
Kate Manzana
 

vendredi 8 février 2013

Ma nouvelle coque d'iphone

Alors voilà l'iphone mérite une coque qui personnalise l'objet, et accessoirement le protège. C'est fragile ces p'tites bêtes et ça coûte un bras.
L'été dernier j'avais craqué pour une coque Liberty made in England, achetée à Bath. J'ai eu beaucoup de compliments, mais voilà je voulais changer. Ah la société de consommation !

Et j'ai trouvé cette jolie coque aux motifs floraux japonisants.


Bon, en fait elle vient de Thaïlande, rien à voir avec le Japon ...
Mais je lui trouvais des airs très Art Déco.



J'ai eu quelques scrupules à acheter en Thaîlande, le Co2, le travail sous traité, etc ...
 
 
 
Mais j'ai acheté sur le site ETSY qui regroupe des créateurs indépendants qui peuvent vendre leurs produits dans le monde entier.
 
Voici ce qui revendique Etsy : "Notre mission est de donner les outils à ceux qui veulent changer la façon dont fonctionne l’économie mondiale. Nous rêvons d’un monde où les micro-entreprises jouent un rôle prépondérant dans le développement de l’économie, où les économies locales prospèrent et où les gens accordent autant de valeur à la création et à la provenance qu’au prix et à l’utilité. Nous mettons du coeur à rendre le monde plus juste, plus durable et plus amusant tout en rendant le commerce humain."

Ainsi je me sens solidaire d'une économie mondiale positive, utile et loin des multinationales.
Allez faire un tour sur le site, vous trouverez de jolies choses et des produits étonnants.

Et pour Pam, j'ai trouvé la coque parfaite :-)

 A acheter ICI



Kate Manzana


Ma coque florale vient de cette boutique : http://www.etsy.com/shop/NapPage?section_id=10538516

mercredi 6 février 2013

The Ultimate red

J'avoue un manque total d'inspiration pour trouver un titre à ce post. C'est sans doute que "Thigh High" de Essie me laisse totalement sans voix : un des plus rouges de ma collection, sinon le plus beau !

J'étais partie en quête hier soir d'un vernis Bourjois aux tons très doux, et puis voilà, je me suis retrouvée face au stand Essie, et puis "Thigh High" m'a interpellée si fort que j'ai laissé tomber "Eternal Optimist" que je lorgne aussi depuis un bout de temps sans arriver à me décider à l'acheter. Tout ça relève donc d'une logique toute féminine ;-)

Donc "Thigh High" : un incarnat majestueux, très chic, avec de très belles micro micro paillettes dorées. A la première couche, déception totale : couleur pâle et fade comme tout, et puis hop une deuxième couche et là : wow !!!

En revanche, j'ai eu toutes les peines du monde à le photographier et les photos ne lui rendent absolument pas justice, il est beaucoup  plus foncé et riche d'irisations en lumière naturelle. 


Je n'ai pas pu faire autrement que de le prendre au flash, la lumière naturelle du jour étant ces jours-ci totalement inexistante, et je ne suis pas super ravie du rendu.

Mais ce qui est sûr, c'est que celui-là est mon coup de coeur absolu dans la catégorie des "rouges".

(2 couches "Thigh High"/Essie +1 couche "Gloss & Shock power"/Biguine + 1 couche "Mavadry"/Mavala).

Pam Baileys

lundi 4 février 2013

La voiture d'Intisar

Ca faisait longtemps que je n'avais pas parlé de BD, pardon de "roman graphique" !
Mais il n'y avait pas grand chose de nouveau sous le soleil ... et j'ai trouvé (enfin, car en rupture dans toutes les bonnes librairies) La voiture d'Intisar de Pedro Riera et Nacho Casanova chez Delcourt.
 
 
 
En résumé c'est une sorte de chronique de la vie d'une jeune femme au Yemen.
L'auteur de ce livre est parti vivre 2 ans au Yemen avec sa femme à qui on avait proposé un poste là-bas. Il découvre la réalité de la vie dans un pays où hommes et femmes n'ont pas les mêmes droits et devoirs. En s'inspirant de scènes de la vie quotidienne de plusieurs amies de sa femme, il construit le personnage d'Intisar.

vendredi 1 février 2013

Petites choses soldées

J'ai été particulièrement mollassonne sur les soldes cette année, tout d'abord parce que je n'avais besoin de rien de particulier, ensuite parce que les foules en délire pour un bout de tissu, c'est pas mon truc, enfin, parce que sincèrement et même en me creusant la tête non, résolument non, je n'avais envie de rien.

Et puis ma route a croisé ces deux petites choses. Très soldées. Tout d'abord, cette paire de baskets "léopard", et oui, vous connaissez bien maintenant mon penchant très net pour cet imprimé que j'adore (quand il est joliment reproduit), et que j'aime porter en petite touche (pas en total look, non non non !). Des baskets ? Euhhh ben oui. Je n'en porte jamais, je suis toujours perchée sur hauts talons (j'ai même des hauts talons léopard !) mais voilà, ces baskets-là je les trouve sympa pour le week-end (et même avec une petite robe noire - bon pas une de mes vintages, mais une robe plutôt mode, ça passe très bien - tests à l'appui).


Et puis "Le" col amovible ! Exactement ce que je désespérais de trouver un jour ! Je cherchais depuis longtemps un col amovible mais qui ne soit pas constellé de (fausses) perles : trop Marie-Chantal versaillaise, ni constellé de clous dorés (je ne suis pas la fille de Barbarella et cette mode actuelle du clou doré partout me grrrrrrrr).

Celui ci est exactement ce que je cherchais : des perles plus "travaillées", un vrai joli travail de broderie fait des petits sequins et perles de rocaille entrelacés, avec le ruban à lacer sur le cou, j'adore !


Vous avez même en fond le magnifique livre que Kate m'a offert sur la mode des 20's :-))

Voilà mes deux trouvailles de ce début d'année, le tout pour 21 euros (mais si mais si !).

Et vous, qu'avez-vous déniché comme super affaires durant ces soldes ?

Pam Baileys