mardi 30 juillet 2013

Carte postale bavaroise #1

Nous sommes à Munich, la ville de la bière, du foot et de BMW mais aussi de la pinacothèque, du palais de la Résidence et du carillon de la Marienplatz.

On a marché toute la journée dans la ville, bu des pots en terrasse, mangé  bretzel et encore marché.
Demain piscine(s) !

Munich est une ville à découvrir et visiter, entre promenades, shopping, musées et café. Une bonne idée de week end !

Quelques clichés locaux  à partager avec vous en ce premier jour bavarois.











Auf wiederzen !
Kate (Heidi) Manzana


vendredi 26 juillet 2013

Vacances !

Premier jour des vacances !
Je commence par un diabolo menthe en terrasse de café et je profite.


Bel été les pas it blogueurs !
Et à bientôt pour des cartes postales estivales. Après l'Angleterre l'été dernier c'est en Bavière que je vous emmène ...
Kate Manzana


mercredi 24 juillet 2013

Exposition "Impressions photographiques" à Trouville-sur-Mer

Dans le cadre du Festival "Normandie Impressioniste", le très joli Musée Montebello de Trouville-sur-Mer (14360) accueille du 29 juin au 29 septembre 2013 l'exposition "Impressions photographiques" et propose au visiteur une balade dans le Trouville de l'époque des premiers bains de mer.






Trouville-sur-Mer, sis à côté de Deauville, sur la Côte fleurie, est, dès la fin du 19e siècle une station balnéaire réputée. C'est la destination de prédilection des riches et nantis qui inaugurent les bains de mer et les cures marines, souverains pour la santé. Pudeur oblige, les corps ne se dévêtent pas : les femmes troquent leurs robes à crinolines et larges chapeaux contre des tenues de bain couvrant la majeure partie du corps, dans des cabines en bois roulantes, tractées par des chevaux : cela permet aux baigneuses de ne point s'exposer à la vue ni au soleil jusqu'à atteindre le bord de l'eau. Hommes et femmes sont séparés par une corde allant de la plage jusqu'au bord de l'eau.





Très vite, et avec l'afflux de touristes fréquentant de ses plages, Trouville-sur-Mer voit fleurir sur ses flancs et en son coeur de nombreuses (et somptueuses) villas, puis est érigé le très beau Casino ainsi que de grands hôtels de luxe qui rivalisent de confort et d'équipements derniers cri. La foule se presse toujours plus nombreuse, les Elégantes s'assoupissent sur la plage, assises sur des chaises et protégées du soleil par leur ombrelles, ou bien arpentent élégamment le long de la plage, affichant des tenues estivales colorées et rivalisant de frous-frous et dentelles.




L'exposition comporte un gros fonds photographique puisé dans les archives parfois personnelles des Trouvillais. Elle donne ainsi à voir la structure et l'architecture des lieux (qui a assez peu changé) ainsi qu'elle offre au visiteur une vue de l'animation qui régnait alors en ses rues et sur sa plage.




Un petit film d'époque présente également une scène de bord de mer où l'on voit les baigneurs s'ébrouer dans l'eau, les enfants construire des châteaux de sable pendant que les dames devisent sous leurs ombrelles.




En fin de parcours est installé un studio photo éphémère : un fond bucolique et quelques accessoires (chapeaux, gants, ombrelles, canotiers etc....) sont mis à la disposition du  visiteur qui peut ainsi se déguiser à la mode d'autrefois et se faire photographier (les photos sont ensuite publiables sur le site : facebook.com/museevillamontebello)

C'est une très belle exposition à voir en cette saison estivale.  Si vous passez par là, je vous la recommande .

Plus d'infos sur facebook : facebook.com/museevillamontebello.
Musée Villa Montebello - 64 rue du Général Leclerc - 14360 Trouville-sur-Mer - Tél : 02 31 88 16 26


Pam Baileys

lundi 22 juillet 2013

Epicare : le ressort épilateur

Etant brune à la peau très claire, je dois tous les mois passer par la douloureuse séance d'épilation du duvet de la lèvre supérieure. Pendant des années, je me suis rendue chez l'esthéticienne pour une épilation à la cire : c'était rapide mais assez douloureux, et surtout, comme j'ai la peau très sensible, je portais des marques rouges tout autour de la bouche durant plusieurs jours ainsi que de disgrâcieux petits boutons.

Je me suis ensuite tournée vers l'épilation au fil, qui est une méthode indienne que j'adore, très douce pour la peau, celle-ci ne marque pas, l'esthéticienne travaille très vite et d'un geste très sûr, aucun poil, même le plus fin duvet ne lui résiste. Aucun bouton à déplorer ensuite, la pousse se fait plus douce et les épilations plus espacées.

Mais comme il faut tout de même une longueur minimum pour pouvoir arracher le poil, cette méthode ne me satisfait pas totalement, le contour des lèvres n'est pas net tout le temps. Aussi je me suis tournée vers Epicare, ce petit appareil totalement révolutionnaire :




Il s'agit tout simplement d'un ressort souple maintenu à chaque extrémité par une petite poignée en plastique. Le ressort, par mouvement de rotation du poignet, va venir attraper le poil, le soulever et l'arracher. La méthode s'apparente à celle de l'épilation au fil.




J'ai regardé plusieurs tutos sur internet pour comprendre le geste à faire, c'est simple comme un jeu d'enfant. Pour retirer les poils épilés, il suffit ensuite de tendre le ressort et de souffler dessus, puis de le désinfecter (pour ma part je le fais avant utilisation et après), puis de le ranger dans son petit étui.

Voilà ! C'est tout simple, et cela permet d'être nette tous les jours car on peut faire les retouches chez soi.

Alors bien sûr je vous mentirais si je vous disais que la méthode est indolore : non ! elle ne l'est pas ! Les marques d'épilateurs qui promettent une épilation en douceur et sans douleur font de la publicité mensongère : une épilation, c'est l'extraction d'un bulbe pileux de dessous la peau, donc oui, ça ne fait pas du bien. Et puis la zone autour des lèvres est la plus sensible car c'est une zone extrêmement inervée. La partie la plus sensible étant l'arc de Cupidon.




Mais on s'y habitue et au fil des épilations, le poil repoussant plus fin, on a un peu moins mal.

Pour ma part, cette méthode me convient parfaitement, l'Epicare est un objet petit que je peux emporter partout pour faire des retouches quand je le souhaite, le coût de l'épilation chez l'esthéticienne est très vite amorti et surtout, je ne déplore ni rougeurs persistantes (le contour de mes lèvres est un peu rouge durant environ 1 heure, et après l'épilation, j'applique sur ma peau un peu de crème hydratante mélangée à 1 goutte d'HE de lavande), ni boutons intempestifs. C'est en plus une méthode écologique et très économique. Bref, que des avantages ! Depuis que je l'ai découvert, ce petit outil ne me quitte plus !


Vous pouvez trouver l'épilateur Epicare en parapharmacies ou sur internet (coût environ 15 euros), il existe aussi d'autres marques plus chères, et les mêmes épilateurs sans marque pour quelques euros sur Priceminister, Amazon ou E-bay.


Pam Baileys


jeudi 18 juillet 2013

Derniers coups de ciseaux

La semaine dernière Rudolf était en vacances à la mer, alors avec Karl nous sommes sortis, et oui !
Direction le théâtre des Mathurins, celui de Boeing Boeing ... ça vous donne le ton ...
Au programme une pièce jouée depuis 30 ans à New-York : "Derniers coups de ciseaux"


mardi 16 juillet 2013

Baume complice Akileïne Glamour & Confort

Voilà l'été qui s'est bien installé un peu partout du nord au sud et d'est en ouest. L'été c'est bien pour plein de choses, mais c'est aussi souvent un calvaire pour nos pieds !

La plante des pieds qui s'échauffe, les orteils trop serrés dans les chaussures, les souliers tout neufs, les hauts talons, bref, ce n'est pas toujours facile d'aller travailler en tongs ou en Birkenstock, ben oui, c'est pas parce que c'est l'été qu'on est forcément en vacances !

En ce qui me concerne, quelle que soit la saison, je porte quasiment toujours des hauts talons, et parfois donc des hauts talons neufs. Le calvaire, surtout si  je dois arpenter les couloirs du métro ou passer une partie de la journée/soirée debout. Qui plus est en été ! La chaleur n'est pas mon amie, et encore moins celle de mes pauvres petons bien fatigués le soir.

Aussi ai-je cherché une crème qui soulage et délasse les pieds en fin de journée, pas forcément à grand renfort de menthe effet glaçon (pour cela j'utilise une crème lambda dans laquelle je verse 1 goutte d'HE de menthe poivrée) en même temps qu'elle nourrit la peau (rien de plus laids que des pieds féminins dont le talon est fendillé-jaunâtre-3cm de corne !).

Et puis voilà, je suis tombée en parapharmacie sur ce tube rose. C'est d'ailleurs en premier lieu la couleur qui m'a attirée, parce que généralement les tubes de  crème pour les pieds sont bleus ou verts. Et puis la petite mention "Glamour & Confort" - anti-ampoules- chaussures neuves et talons hauts a fini de me convaincre ! Tout ça dans un tube ? Est-ce bien possible ? C'est presque trop de promesses... Bref, j'achète quand même, mais je reste un peu dubitative, même si je sais qu'Akileïne est une marque réputée pour les soins des pieds.


Côté compo qu'est-ce qu'on a dans ce tube rose ? Ben du pas beau du cracra en gros avec quand même quelques grammes de bonnes choses : de l'eau en premier composant (jusqu'ici tout va bien), un toutipeu de beurre de karité, de l'alcool, des cochonneries, des SLS (ahhh mais ils sont vraiment partout ceux là !), une lichette d'huile de tournesol, de la glycérine, de l'huile essentielle de romarin aussi, du potassium sorbate (bien comme anti bactérien), du PEG, de la paraffine, du PPG...

Je l'ai utilisée la première fois un soir en rentrant d'une grosse journée  passée sur hauts talons et grosse chaleur : effet délassant immédiat ! la crème n'exerce pas un effet froid ou frais mais on sent que la peau se détend, bon point ! La texture n'est pas grasse et laisse comme un léger film protecteur et poudré sur la peau (ce doit bien entendu être l'action "anti ampoules' - effet talc). Le lendemain matin, mes pieds sont bien reposés et bien nourris qui plus est, la peau est toute douce.

Puis je l'ai appliquée avant de me chausser et miraculeusement je n'ai pas eu les pieds échauffés ni les orteils en bouillie le soir ! Super efficace ! En plus, une noisette suffit largement pour se crémer tout un pied. Comme la texture n'est pas grasse, on peut glisser ses petons tout de suite dans ses souliers sans risque de dérapage incontrôlé.

Alors là, je suis bluffée, c'est vraiment une super découverte qui est en train de révolutionner mon (in)confort estival dû aux pieds nus dans les chaussures !!

Seul (gros) bémol pour moi : l'odeur !!!! Un truc atroce, à mi-chemin entre le vieux vin croupi au fond de son fût de chêne et la grappe de raisin moisie, yeurrrkkkk, une horreur !

Mais au vu des bénéfices réels qu'elle apporte à mes pieds, je ne suis tout de même pas prête à abandonner ce petit tube rose. 

Glamour un jour, glamour toujours !

Pam Baileys

(Akileïne - Baume complice "Glamour & Confort" - en parapharmacie - environ 7 euros les 75 ml)

lundi 15 juillet 2013

La citrouille a besoin de vous de P.G. Wodehouse


Je dois vous avouer, mais cela ne vous surprendra pas puisque vous connaissez bien ma passion pour la Perfide Albion, que je vous un culte immense à P.G. Wodehouse (ainsi qu'aux éditions 10/18 et Joëlle Losfeld qui ont eu le bon goût d'éditer ses oeuvres en langue française).

Chaque livre de cet auteur est un peu ma madeleine de Proust, ou plus exactement mon scone tartiné de clotted-cream : c'est-à-dire : un délice dont je ne me lasse pas ! 

J'ai bien lu déjà une vingtaine de ses livres (l'auteur était assez prolixe, 70 romans et environ 200 nouvelles, pour ne citer que ses oeuvres littéraires) et toute la série des "Jeeves" qui ont rendu Wodehouse si célèbre Outre-Atlantique. 

Jeeves, c'est le majordome anglais dans toute sa splendeur, l'oeil qui jamais ne frise, la livrée toujours au cordeau, d'une discrétion et d'un tact tout anglais, dévoué corps et âme à  l'inepte Bertram Wooster,  châtelain loufoque et doté de l'intelligence d'un fox terrier, qui parvient à se prendre systématiquement les pieds dans le tapis et se fourrer dans les histoires les plus abracadabrantesques dont seul le bon Jeeves sait le tirer. C'est de l'humour désuet, 100 % british, et j'adore !

"La citrouille a besoin de vous" a toutefois d'autres protagonistes, mais toujours du même acabit : un châtelain qui règne sur les terres de Blandings Castle, le Comte d'Emsworth, pas très fûte-fûte lui non plus (chez Wodehouse, c'est un gimmick, l'aristocratie en prend systématiquement - mais gentiment - pour son grade), le cerveau comme noyé dans une bonne jelly bien épaisse, pas un penny de jugeote, ou si peu, flanqué de ses soeurs, nièces, neveux, fils cadet tous plus toqués les uns que les autres, grand amateur de roses, de citrouille, et féru d'élevage de cochons. Et là encore, l'art tout britannique de s'attirer les ennuis, de plonger dans les aventures loufoques et les situations impossibles, n'était, encore une fois, le génie de Beach, le majordome dont on ne saurait se passer.

Mais me direz-vous que se passe-t-il dans ce roman ? De l'aventure ? Du suspense ? Du romantisme ? Mmmmpffffff, peu ou prou, je l'admets. Chez Wodehouse, de chaque événement bénin, tout devient rocambolesque et vire au cauchemar. Tempête dans une tasse de thé à l'heure du full tea time ! Ainsi, le grand concours annuel de la plus belle citrouille du comté prend des allures de polar ! Si si, c'est tout l'art de l'auteur, et bien plus encore. Du vaudeville version anglaise et des imbroglios en veux-tu en voilà.

On aime, ou on déteste. Les romans de P.G. Wodehouse sont quasiment tous fait du même bois : des aristos crétins, des situations banales qui deviennent extraordinairement complexes, le tout sur gazon bien vert, nappe bien blanche, le journal bien repassé et thé à bonne température :  ça se déguste comme un sandwich au concombre arrosé d'Earl Grey. 

Essayez, vous en reprendrez peut-être une tranche :-)

"La citrouille a besoin de vous" de P.G. Wodehouse (éditions 10/18).

Pam Baileys

mardi 2 juillet 2013

The Bling Ring de Sofia Coppola


 (affiche US)
 
Beverly Hills, Californie : son climat unique et son ensoleillement maximal, ses palmiers, sa plage de sable blanc, ses villas cossues de milliardaires, stars et starlettes, son intense activité nocturne dédiée à la fête. Ici, tout vous séduira.

Le décor est planté, la carte postale prête à expédier.

Que manque-t-il à ce décor de pacotille ? Des adolescents bien sûr ! Elevés dans les beaux quartiers, entourés par une famille soudée et aimante, nourris au jus de betterave et préceptes new age, sur-gavés d'internet et de photos de stars dont ils suivent toutes les pérégrinations, décortiquant chaque tenue, chaque nouveau it-bag, chaque nouvelle paire de Louboutin, des gamins fascinés par l'argent, le luxe tapageur et californien (pléonasme là non ?), les virées nocturnes dans de grosses cylindrées.



Et pour se donner des airs de star, quoi de mieux que de jouer aux stars ? S'habiller comme Paris Hilton, grande prêtresse du chic et du glam (n'est-ce pas ?), ou encore comme Mirranda Kerr, Lindsay Lohan ou Megan Fox ? Oui, mais "s'habiller comme" ce n'est pas assez. Le mieux, c'est d'aller puiser directement dans le vestiaire de ces stars ! Et quoi de plus facile ? La clé est toujours sous le paillasson de leur villa aux 95 pièces !

La bande organisée de copains visite et pille. Sans scrupule, avec une rare aisance, et presque en toute innocence : dans les grands sacs Vuitton ils fourrent par poignée entières rivières de perles et de diamants, liasses de billets, chaussures, sacs, vêtements, et raflent tant que les sacs peuvent en contenir.



Il ne leur reste plus qu'à se photographier avec la panoplie de vêtements et accessoires volés, et poster leurs belles photos sur tous les réseaux sociaux.



Un jeu d'enfant : On entre, on vole, on sort. Le même scénario se répète chez toutes les it girls du moment. Les adresses ? Facile ! Elles sont directement accessibles sur le net (je le sais parce que j'ai fait comme les ados du films, j'ai tapé sur Google Paris Hilton address).

Seulement voilà, les réseaux sociaux c'est bien pour s'éclater et jouer les starlettes, mais c'est aussi un formidable outil pour dénoncer au plus grand nombre un cambriolage : c'est ce que fera l'une des stars pillées : publier sur la toile un avis de cambriolage avec bande vidéo des fashion-ados en pleine action à l'appui. Internet, ton univers impitoyable...

The Bling Ring est inspiré d'un fait divers survenu à Hollywood : le démantèlement d'un gang d'adolescents issus de bonnes familles, qui avaient  méthodiquement cambriolé les résidences de Lindsay Lohan, Paris Hilton, (qui a autoristé Sofia Coppola à filmer son vestiaire - quel formidable coup de pub !), Orlando Bloom, Rachel Bilson ou encore Megan Fox. La meneuse, Rachel Lee, a écopé de 4 ans de prison. Leur butin total s'élevait environ à 3 million de dollars.



Le film est rythmé tambour battant : la caméra de Sofia Coppola lui insuffle ainsi la vitalité de la jeunesse ainsi que leur devise : Live fast (vivre vite). Elle rompt ici avec ses anciens films aux travellings longs et langoureux, dans "The Bling Ring", l'image est nette, franche, découpée, point de tons pastels à la "Virgin Suicides" ou "Marie-Antoinette" : Beverly Hills by night, c'est des couleurs qui claquent, des néons qui brillent, des lumières qui dansent, le tout saupoudré de paillettes et de poudre (de diamant ou d'héroïne, au choix).

La réalisatrice s'attache également à traduire en image tout le paradoxe de ces adolescents qui oscillent entre candeur et innocence et esprit volontaire et décidé, faisant fi de toute autorité.

"The Bling Ring" démontre aussi les ravages que peut causer internet : tout savoir en temps réel, pénétrer dans l'intimité des stars, vivre par procuration et s'inventer un personnage, tout cela en un clic et en (presque) toute impunité.

Enfin, Emma Watson (la studieuse Hermione dans Harry Potter) est assez crédible dans son rôle de Lolita strassée et très court vêtue. La bande-son est toujours léchée et impeccable, comme dans tous les films de Sofia Coppola (Kanye, Rick Ross, Franck Ocean ou encore Schoolboy Q) : du R n'B efficace comme une jeune main rafleuse de diamants.


"The Bling Ring", de Sofia Coppola, avec Israel Broussard, Katie Chang, Taissa Farmiga, Claire Julien et Emily Waston. Durée : 1 h 30.

Pam Baileys